Le maroilles séculaire
L'odeur de noisette cachée par la saveur vibrante,
Au delà de la vibrante et vivante Amarante,
Qui émanait sous le manteau,
Le maroilles coulait tel un tourtereau,
L'odeur sentait le bosquet pourri et désuet,
Cela ressemblait à un monde de maroilles frigorifiés,
La belle se délectait décongelant le coulant,
L'odeur de pipi de chat sublime et soulant,
Nettoyant la litière tous les soirs en suant,
C'est puant, la galère tous les soirs en rageant,
La tête dans le plateau à fromage devant le vingt heure,
La crise ouvrait son appétit en pleure,
Et nous mourrions en étant des vrais,
Le maroilles sentait vraiment mauvais,
Comme un relent de vieille maladie,
Un mauvais plaisantin en panoplie,
C'est ainsi il y a des gens comme ça qui aime le fromage qui pue,
Le ventre rond, les couilles pendues, la panse repue,
Bloqués sur des idéaux idéalisés, perdus et bien pendus,
Par les bourses avec le sac à purins pour pain perdus,
Quand les pattes molles comptes encore leurs boutons
Demain les vers finirons les vieux croutons,
Il restera cette sorte de mort pour les moutons,
Des vers de terre pour faire aboyer les gros cons.
© Zuc et Matthale.
L'odeur de noisette cachée par la saveur vibrante,
Au delà de la vibrante et vivante Amarante,
Qui émanait sous le manteau,
Le maroilles coulait tel un tourtereau,
L'odeur sentait le bosquet pourri et désuet,
Cela ressemblait à un monde de maroilles frigorifiés,
La belle se délectait décongelant le coulant,
L'odeur de pipi de chat sublime et soulant,
Nettoyant la litière tous les soirs en suant,
C'est puant, la galère tous les soirs en rageant,
La tête dans le plateau à fromage devant le vingt heure,
La crise ouvrait son appétit en pleure,
Et nous mourrions en étant des vrais,
Le maroilles sentait vraiment mauvais,
Comme un relent de vieille maladie,
Un mauvais plaisantin en panoplie,
C'est ainsi il y a des gens comme ça qui aime le fromage qui pue,
Le ventre rond, les couilles pendues, la panse repue,
Bloqués sur des idéaux idéalisés, perdus et bien pendus,
Par les bourses avec le sac à purins pour pain perdus,
Quand les pattes molles comptes encore leurs boutons
Demain les vers finirons les vieux croutons,
Il restera cette sorte de mort pour les moutons,
Des vers de terre pour faire aboyer les gros cons.
© Zuc et Matthale.
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